Les Chiens des collines
1998. DENOEL:
Récompensé au festival du premier roman à LAVAL, au festival
du premier roman à Chambéry. Prix du C.E. des usines Renault:
Ljubo et son frère aîné Anton ont été pris par des miliciens
serbes alors qu'ils regagnaient leur ferme. Ils sont jetés dans la bergerie
d'une ferme où se trouve déjà Goran, un instituteur. Les trois hommes partagent
la peur de mourir et subissent le sadisme de leurs geôliers. Un jeu subtil
d'influence et de rapport de force s'établit entre les prisonniers et les
soldats. Le plus cruel n'est pas toujours le plus affaibli.
Ce huis clos est le prétexte d'échanger des souvenirs, des espoirs et de révéler sa nature, alors que la simple pensée du lendemain paraît illusoire. Tandis que la société des hommes se désagrège, les chiens chassés des fermes par la guerre s'organisent en meutes pour survivre.
Ce huis clos est le prétexte d'échanger des souvenirs, des espoirs et de révéler sa nature, alors que la simple pensée du lendemain paraît illusoire. Tandis que la société des hommes se désagrège, les chiens chassés des fermes par la guerre s'organisent en meutes pour survivre.
CRITIQUES
TELERAMA:
Vivre dans la terreur, avec une chance infime de survivre ou en finir de suite, une bonne fois pour toutes? Roman remarquablement maîtrisé.
ANGELINES:
Premier roman à la très belle écriture, cet ouvrage est aussi un récit proprement effrayant sur la violence. C'est aussi inéluctable qu'un constat, un rapport. On en sort sonné.
LE LIBRAIRE:
L'ouvrage mérite toute notre attention, c'est une des perles de la rentrée. Du grand art.
LA PAGE DES LIBRAIRES:
Premier roman réussi.
LE SOIR ILLUSTRE:
On aimerait en savoir plus sur celui qui a dû être témoin ou acteur de cette guerre. L'auteur réussit à nous faire partager chaque instant l'insupportable.
LE GENERALISTE:
Roman métaphorique et poignant. Dans une écriture assurée, concise, avec un brin de lyrisme contenu, l'auteur propose une fable de tous les temps pour montrer l'horreur de la violence humaine.
LA PRESSE DE LA MANCHE:
Formidable hymne à la vie.
LE MONDE:
Vivre dans la terreur, avec une chance infime de survivre ou en finir de suite, une bonne fois pour toutes? Roman remarquablement maîtrisé.
ANGELINES:
Premier roman à la très belle écriture, cet ouvrage est aussi un récit proprement effrayant sur la violence. C'est aussi inéluctable qu'un constat, un rapport. On en sort sonné.
LE LIBRAIRE:
L'ouvrage mérite toute notre attention, c'est une des perles de la rentrée. Du grand art.
LA PAGE DES LIBRAIRES:
Premier roman réussi.
LE SOIR ILLUSTRE:
On aimerait en savoir plus sur celui qui a dû être témoin ou acteur de cette guerre. L'auteur réussit à nous faire partager chaque instant l'insupportable.
LE GENERALISTE:
Roman métaphorique et poignant. Dans une écriture assurée, concise, avec un brin de lyrisme contenu, l'auteur propose une fable de tous les temps pour montrer l'horreur de la violence humaine.
LA PRESSE DE LA MANCHE:
Formidable hymne à la vie.
LE MONDE:
Point de démonstration, de grande
phrase à effet. Plus efficacement, un style simple mais travaillé pour dire des
situations complexes, des formules qui font images pour dénoncer la folie de la
guerre.
NOTES BIBLIOGRAPHIQUES:
Le récit évite la description complaisante de l'horreur mais restitue toute la cruauté de ces guérillas internes.
VIVRE EN VAL-D'OISE:
Coup de maître pour un premier roman! Le suspense dure autant que le livre. Simplicité et retenue, un petit livre qui fait honneur à la rentrée littéraire.
NOTES BIBLIOGRAPHIQUES:
Le récit évite la description complaisante de l'horreur mais restitue toute la cruauté de ces guérillas internes.
VIVRE EN VAL-D'OISE:
Coup de maître pour un premier roman! Le suspense dure autant que le livre. Simplicité et retenue, un petit livre qui fait honneur à la rentrée littéraire.
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