la Ferme des Solitudes
Roman terroir. Avril 2015 éditions de Borée
Sujet : En fuite depuis qu'elle s'est
séparée de son fiancé, Léa erre de village en village. Elle est accueillie à
la ferme des Solitudes par l'énigmatique Catherine, qui se morfond dans son
amour pour son beau héros, Esprit Rochebrune, jamais revenu du front. Très
vite naît entre les deux femmes une grande complicité. Un soir de bal, elles
rencontrent des bûcherons, Émile et Guido. Réussiront-ils à donner un
renouveau à la vie des deux fermières ? Il faudra alors lever le voile sur
bien des malheurs et des secrets qui entourent leur existence.
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Critiques:
Inf’osny janvier 2016
Jean-Louis Serrano, des mots pour les fêlures de
l’âme.
On ne présente plus Jean-Louis Serrano, installé depuis trente ans à Osny
et auteur de 13 ouvrages brillants.
La ferme des solitudes, son dernier opus paru à l’automne, est aussi le troisième « roman du terroir » signé sous le pseudonyme de Jean-Louis Desforges.
Sous cette signature, l’auteur semble se réconcilier avec le genre humain, dont il a souvent dépeint la noirceur d’âme et la cruauté.
Cette fois l’action se déroule dans une ferme isolée en 1924, où les maux de la guerre sont encore à vif.
« Deux femmes, deux solitudes, se croisent, très différentes l’une de l’autre : Catherine, élégante et raffinée et Léa, meurtrie, soumise, et en fuite.
Ce roman raconte la force de l’amitié et de la bonté, sur fond de paysage de montagne, de torrent et de forêts… »
La ferme des solitudes, son dernier opus paru à l’automne, est aussi le troisième « roman du terroir » signé sous le pseudonyme de Jean-Louis Desforges.
Sous cette signature, l’auteur semble se réconcilier avec le genre humain, dont il a souvent dépeint la noirceur d’âme et la cruauté.
Cette fois l’action se déroule dans une ferme isolée en 1924, où les maux de la guerre sont encore à vif.
« Deux femmes, deux solitudes, se croisent, très différentes l’une de l’autre : Catherine, élégante et raffinée et Léa, meurtrie, soumise, et en fuite.
Ce roman raconte la force de l’amitié et de la bonté, sur fond de paysage de montagne, de torrent et de forêts… »
La tribune du 5 septembre
2015:
A vous de
plonger dans cet ouvrage qui saura vous tenir en haleine car il faudra
patienter pour connaître cette grande complicité entre Catherine et Léa, les
deux héroïnes du roman.
L’Est-Éclair:
Une belle
analyse de sentiments donne à ce roman une grande profondeur.
Biblioteca. Avril 2015:
L'espoir est là, celui d'un nouveau départ et de la possibilité d'un
retour au bonheur. Mais il faudra lever le voile sur bien des secrets et
bien des tragédies... Un récit richement documenté sur les années de
reconstruction après la Grande Guerre et qui révèle les difficiles conditions
d'existence des femmes qui ont perdu leurs maris durant le conflit
Val d'Oise magazine n°16:
Le romancier osnyssois Jean-Louis Desforges n'a pas son pareil pour étudier
l'âme humaine et ses réactions face aux bouleversements des temps de guerre. Après
Rivière amère, il raconte dans ce roman l'amitié et le sort de deux
femmes dont les maris ne sont pas revenus de la guerre de 14.
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